L’urgence de l’hôpital !!!
Le triage a pour but de classer et de passer les patients selon la gravité de leur état. – Résultat : Les cas les plus graves passent au fur et à mesure qu’ils se présentent. Ils nécessitent beaucoup de temps, de ressources, de personnels. Jusqu’à maintennant, tout est beau.
Cependant ça nous laisse avec des cas moins graves qui attendent entre huit et douze heures et plus. Déjà vulnérables, à la contagion de toutes sortes, ces derniers deviennent nos cas lourds pour les semaines à venir. Si c’était ça le but, c’est réussi.
2ième résultat : On créé plus de problèmes qu’on peut en régler. On a donc une mauvaise gestion et ça prend pas la tête à Papineau pour comprendre ça!
Une gestion est bonne si on peut l’appliquer à plusieurs types d’entreprises.
Essayons d’appliquer cette même gestion à un marché d’alimentation. La personne qui n’a que huit articles et moins ne peut passer à la caisse tant que toutes les p’tites madames et les p’tits messieurs avec les gros paniers qui se présentent soient passés.
J’ai pas besoin d’en dire plus, vous avez tout compris.
Donc, le problème est facile à régler :
Au moins UNE salle (sur les onze) et un médecin à la disposition des cas mineurs. Ça désengorgerait une urgence en pas long et à long terme.
La prévention a bien meilleure mine!
Le triage a pour but de classer et de passer les patients selon la gravité de leur état. – Résultat : Les cas les plus graves passent au fur et à mesure qu’ils se présentent. Ils nécessitent beaucoup de temps, de ressources, de personnels. Jusqu’à maintennant, tout est beau.
Cependant ça nous laisse avec des cas moins graves qui attendent entre huit et douze heures et plus. Déjà vulnérables, à la contagion de toutes sortes, ces derniers deviennent nos cas lourds pour les semaines à venir. Si c’était ça le but, c’est réussi.
2ième résultat : On créé plus de problèmes qu’on peut en régler. On a donc une mauvaise gestion et ça prend pas la tête à Papineau pour comprendre ça!
Une gestion est bonne si on peut l’appliquer à plusieurs types d’entreprises.
Essayons d’appliquer cette même gestion à un marché d’alimentation. La personne qui n’a que huit articles et moins ne peut passer à la caisse tant que toutes les p’tites madames et les p’tits messieurs avec les gros paniers qui se présentent soient passés.
J’ai pas besoin d’en dire plus, vous avez tout compris.
Donc, le problème est facile à régler :
Au moins UNE salle (sur les onze) et un médecin à la disposition des cas mineurs. Ça désengorgerait une urgence en pas long et à long terme.
La prévention a bien meilleure mine!
On a le meilleur système de santé au monde, et j’en suis fière, c’est la gestion qu’on a à repenser.
Guylaine
Guylaine
Guylaine 